Appelé à l’origine vieux chemin d’Ivry, l’endroit devint au XVIIe siècle le quai de la porte Saint-Bernard, du nom d’une des portes de l’enceinte de Philippe Auguste. C’était à cette époque un lieu de baignade à la mode. Henri IVM est, dit-on, y venir en compagnie de son fils, le futur Louis XIII, pour lui apprendre à nager. Ici on se baignait nu, selon la coutume. En 1680, le prévôt des marchands, cédant aux pressions des pudibonds, l’interdit. À cet endroit se trouvait aussi un port fluvial très animé. En 1665, Mazarin et ordonna l’établissement de halo 20. D’accès facile et doté de 20 entre pros, celle-ci se concentra le commerce du vin dans la capitale durant plus d’un siècle. En 1808, la consommation ne cessant d’augmenter, il fallut leur grandir. La halle Saint-Bernard occupait 14 ha en 1845. Cela ne suffisait toujours., Et surtout elle ne permettait pas le provisionnement par chemin de fer, qui ne quitterait prenait le pas pardons sur le trafic pluviale. D’autres entrepôts, très vaste, furent alors construits rive droite, à Bercy, obligeant la vieille halle se spécialiser dans les vins fins et les alcools. Elle ne peut pourtant pas résister longtemps à la puissance croissante de la géante de l’autre rive, et exécuta dans les années 1930. Dans les années 1970, le quai Saint-Bernard échappât un projet de voie rapide sur berge. Il accueille aujourd’hui de Chardin Tino Rossi et son musée de la sculpture en plein air. Aux beaux jours parisiennes et parisiens viennent y danser.
Quai Saint-Bernard
