Construites sur le Champ-de-Mars pour l’exposition universelle de 1889 qui célébraient le le centenaire de la révolution française, la tour ne devait rester que 20 ans. Heureusement, son créateur, l’ingénieur Gustave Eiffel, il y mena des recherches qui démontrèrent sont de utilités : expérience sur la résistance de l’air et l’aérodynamisme, observations météorologiques, transmission radiophonique puis de télécommunications. À l’inauguration, les parisiens n’avaient pas tous saluer l’élection de cette structure métallique d’un stupéfiant modernisme, qui dominait insolemment la capitale du haut de ses 312 m. Ils ne furent bientôt plus s’en passés. 2900 à 1914, le canon installé au sommet retentissait tous les jours à midi permettant à ainsi à chacun de régler sa montre. L’émetteur radio servi, quant à lui, à l’armée française pour capter des messages ennemis durant la première guerre mondiale, dont celui qui des masquerait l’espionnes mata Harry. Rendu à la vie civile, il diffusa des programmes radio dès 1921 et les premiers essais de télévision en 1925. Cette fonction de télédiffusion n’a pas cessé, avec l’adjonction de nouveau à qui font aujourd’hui culminer la tour Eiffel à 327 m. Celle que Verlaine traita de squelettes de beffroi et qui devra plus de 40 ans le plus au monument du monde, n’a guère changé depuis sa construction. L’appareil de jeux et de de lumière pour les grands événements est resté une tradition.