Hôpital de la Pitié-Salpêtrière

Louis XIV avait donné à la duchesse d’Aiguillon les terreurs du petit arsenal, dit « Salpêtrière », car on n’y fabriquait de la poudre à canon. Elle ouvrit un hospice. En 1864, s’y ajouta une prison pour femmes, la force aux épouvantables conditions de détention des. On ne se sociétaire de soigner dans cet « hôpital général tour le renfermement des pauvres de Paris », ou les indigents côtoyaient les valider les. Le chirurgien Jacques tenon, affectés à l’établissement en 1748, tenta d’humaniser les méthodes de soins. Mais, peu de temps après, dans le Paris troublé de la révolution, la Salpêtrière se transforma en un enfer, où se perpétrait meurtre et violent des internés. L’arrivée de Philippe Pinel en 1794 en fit enfin un lieu de soins. C’est aliéniste bouleversa le regard porté sur les fonds, qu’il libérera de leurs chaînes. Jean Étienne Esquirol poursuivit son œuvre. En 1882, la première chair mondiale des maladies du système nerveux fut créée pour Jean Martin Charcot, qui fonda à la Salpêtrière une école de neurologie. Tant de sérieux n’empêchait pas la tenue, à la mi-carême, du bal des folles et de celui des enfants épileptiques, où se pressaient des personnalités du Tout-Paris. En 1911,1 établissement fut bâti à côté de la Salpêtrière, baptisé nouvelle pitié. Les deux hôpitaux furent réunis en 1964 pour devenir la pitié Salpêtrière. La tour Eiffel

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